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Après des mois d'incertitude, le tribunal de commerce d'Agen a validé la reprise des trois sociétés de géothermie de Fonroche sur le territoire de l'Eurométropole de Strasbourg. Une issue favorable rendue possible, en partie, grâce au plan de sauvegarde proposé par L'Etude Jean-Jacques Savenier & Associé. 

Placée en redressement judicaire en juin, l'entreprise Moose Smokehouse a finalement été cédée aux salariés qui l'ont repris sous la forme d'une SCIC, société coopérative d'intérêt collectif. Ce projet de plan de cession, développé sous l'égide de l'étude Jean-Jacques Savenier & Associés, a permis de sauvegarder l'ensemble des emplois.

Morning est rachetée par la banque Edel, filiale des supermarchés Leclerc, qui détient aujourd'hui 79% du capital. De son côté, Eric Charpentier, le fondateur de la "néobanque" toulousaine, sort du capital mais la Maif Avenir, Wiseed et La Dépêche du Midi restent actionnaires. Cette décision fait suite au mandat de concilitation confié à Jean-Jacques Savenier & Associés. L'ensemble des emplois sera conservé.

Un an et demi après la reprise en Scop, les salariés devenus associés mettent les bouchées doubles pour maintenir l'entreprise sur les rails... Et, ça marche ! Dans les projets majeurs initiés depuis la reprise, on notera notamment, la conception numérique des modèles en interne, avec succès.

Les salariés de la Fonderie Gillet, soutenus par Me Jean-Jacques Saveneier et Cyril Rocher de l'Urscop (l'Union des Scop régionales), ont décidé se réunir en Scop afin de reprendre la barre de l'entreprise. Le tribunal a mis sa décision en délibéré jusqu'au 18 novembre afin de permettre aux salariés de créer la scop et d'apporter la garantie bancaire.

Le tribunal de commerce d'Agen a prononcé le redressement judiciaire de Villeneuve Pet Food et désigné Me Jean-Jacques Savenier comme administrateur judiciaire. Cette décision permet au fabricant d'aliments pour animaux d'envisager une sortie de Continentale nutrition, à la satisfaction des salariés, puisque cela permettrait d'inscrire l'usine dans un véritable projet industriel.

La société spécialisée dans le négoce de l'ail, de l'oignon et de l'échalote est reprise par Mandar, un distributeur de fruits, de légumes et d'herbes aromatiques fraiches. Six mois après son placement en redressement judiciaire, la société est donc finalement sauvée, avec 140 emplois emplois sauvegardés sur les 160 qu'elle comptait.

Bessède et Dupleix sortent de la crise. Le tribunal de commerce a validé le plan de reprise  soutenu par Me Jean-Jacques Savenier.  Serge Laitselart, Henry Gauthier, Jean-Marc Mateos et Bernard Poli reprennent ainsi la barre de cette entreprise spécialisée en mécanique de précision depuis 1972.